C’est la deuxième génération de la famille Press à la tête du Château Castera. En 2008, Thomas Press, le fils de Carl Press devient l’unique propriétaire du Château Castera. Sa priorité se concentre sur la qualité des vins. Entouré d’une équipe fidèle et impliquée, il met tout en œuvre pour poursuivre l’élan donné par son père Carl Press et son associé Dieter Tondera.
Avec ses 63 ha de vignes sur solargilo-calcaire, l’âge moyen du vignoble est de 27 ans, la parcelle la plus âgée ayant été plantée en 1930.
Le vignoble se compose de 65% Merlot, 25% Cabernet-Sauvignon, 5% Cabernetfranc, 5% Petit Verdot, terroir 60% argilo-calcaire, 40% graves Pyrénéennes et une forte densité à l’hectare : 7500 pieds/ha.
Château CASTERA
Thomas C. Press - Directeur : Jean-Pierre Darmuzey
Rue du Bourg
33340 Saint-Germain-d'Esteuil
Téléphone : 05 56 73 20 60
Un domaine de 19 ha issu d’un terroir exceptionnel de graves siliceuses et d’argiles graveleuses parsemées de moellons calcaires (65% Sauvignon, 15% Sauvignongris et 20% Sémillon pour les vinsblancs; 60% Merlot, 30% Cabernet-Sauvignon et 10% Cabernetfranc pour les vins rouges). Vendanges manuelles, élevage du blanc 30% en barriques neuves pendant 6 mois sur lies fines et 70% en cuves sur lies également; le rouge : vin de goutte 80% de la récolte en barriques pendant 12 mois et vin de presse 20%. Le vin produit sur le domaine se caractérise par une expression minérale autant en rouge qu'en blanc reflétant le type de solargilo-calcaire. La vigne est présente depuis longtemps au Domaine de Grandmaison : dès le XVIIIe siècle, Monsieur de Belleyme, Ingénieur cartographe du Roi Louis XV, mentionne notre crû alors appelé Barreyre. Au fur et à mesure des époques, la production de vin s’est parfois interrompue, (à cause du gel, du phylloxéra), et a parfois fait place à la polycultureGrandmaison a aussi fait office de maison de campagne. François Bouquier, qui avait dû quitter son Cantal natal au début du vingtième siècle, y fit quelquefois les vendanges et acquit le domaine en 1939, quand il sut qu’il était à vendre. Puis, à partir de 1970, Jean (son fils) et son épouse Françoise reconstituèrent le vignoble et entreprirent la construction de l’actuel cuvier. Grandmaison entrait alors à nouveau en production. Depuis 1988, c’est François (leur fils) qui vinifie et avec son épouse Mayi, tous deux se consacrent à la propriété familiale depuis 1993.
“Nous présentons à la vente en 2020, les Pessac-Léognan rouge 2015 et 2016, et en blanc les Pessac-Léognan2018 puis 2019, nous précise François Bouquier.
Pour nous, les vendanges 2019 ont bénéficié d’un climat très favorable, elles ont commencé le 9 Septembre pour se terminer le 6 Octobre, état sanitaire parfait, excellente récolte quantitative en rouge, un peu moins en blanc.
Le 2019 est un vin charnu, riche, complexe, des degrés alcooliques importants, expressif, bien équilibré aussi bien en blanc qu’en rouge, il ressemblerait d’après nous, au 2009 mais avec moins d’opulence.”
Fidèle à lui-même, ce Pessac-Léognan rouge 2016 est une réussite, développant des tanins mûrs, un vin savoureux, charmeur, à la fois riche et souple, très équilibré, au bouquet intense avec des notes de sous-bois, de groseille et de cerise mûre, de bouche ample.
Beau 2015, où la structure prédomine, au nez puissant avec des notes de mûre et d’humus, bien charnu comme il se doit, de très bonne charpente, aux taninsharmonieux, un vin distingué, ample, de bouche pleine. Le 2014, au nez de violette et de sous-bois, tout en couleur, avec en bouche ces notes intenses de fruits rouges surmûris, aux tanins amples mais bien fondus, il est très harmonieux.
Superbe Pessac-Léognan blanc 2018, riche, très floral, très parfumé, d’une longue finale, avec des nuances de pamplemousse et de pain grillé. Remarquable 2016, gras, dense, ample, aux nuances de pomme et de fruitssecs, de bouche suave, mêlant finesse et persistance. Le 2015, au nez délicat, aux connotations d’agrumes et de fleurs blanches, est tout en élégance.
Au sommet. Une propriété familiale depuis trois générations. Elle a été achetée par le grand-oncle de Philippe Renier, l’actuel propriétaire, en 1939. Sa fille Marie, œnologue le rejoint en 2018 sur la propriété de 32 ha. Dans un souci du respect de l'environnement, le désherbage est mécanique. Les traitements phytosanitaires sont gérés de façon raisonnée. Les vins collectionnent les récompenses.
“En 2020, nous précise Marie Renier, nous poursuivrons la vente du Bordeaux rouge cuvée Marie 2016, du Bordeaux rosé 2019, du Bordeauxblanc 2018 et aussi notre nouvelle cuvée Our Hands 2018, un vin jeune, fruité 80% Merlot et 20% Cabernet-Sauvignon, sans passage en fûts. Cette cuvée doit son nom à la présentation des mains de mon papa et des miennes et signe notre première cuvée faite ensemble.
Pour nous, les vendanges se sont passées, sous les meilleurs auspices, petit bémol moins de volume, mais une concentration parfaite des raisins et à notre avis, un millésime d’exception.”
Remarquable Bordeaux rouge cuvée Marie 2016, une sélection rigoureuse de parcelles de vieilles vignes, 70% Merlot et 30% Cabernet-Sauvignon, aux connotations de cassis et de poivre noir, coloré et complexe, très bien structuré, aux tanins mais fondus.
Une nouveauté à tester absoluement, le Bordeaux rouge cuvée Ours Hands 80% Merlot et 20% Cabernet -Sauvignon, d’un joli rouge soutenu, aux notes de fraise des bois et de griotte, qui associe structure et finesse, savoureux, de bouche persistante.
Excellent Bordeaux rouge Edouard de Fontbonne 2016,90% Merlot, 10% Cabernet-Sauvignon, à dominante de pruneau, un vin très savoureux, ample en bouche grâce à des taninssoyeux, avec des nuances de cerise noire et d’humus, de belle évolution. Il y a aussi le 2015, d’une jolie robe rouge sombre, au bouquet intense, un vin qui développe des arômes de réglisse et de mûre, aux tanins denses mais souples, de bouche étoffée.
Le Bordeaux rosé 2019, Merlot 50%, Cabernet-Sauvignon 50%, est l’un des meilleurs de l’appellation, avec beaucoup de gourmandise et des arômes de pêches de vignes dominant. Le Bordeauxblanc 2018, pur Sauvignon, est bien équilibré en bouche, avec des notes fruitées_definition.html" class="lexique" target="_blank">fruitées persistantes. Et pour finir le Bordeaux rouge 2016, de bouche riche, aux notes de mûre et d’humus, tout en rondeur, ample et coloré.
Dirigée par Grégory Lovato depuis 2005, médecin et viticulteur, cette propriété de 33 ha de vignes d’un seul tenant, sur sol graveleux-siliceux, appartient à la famille Lovato depuis 1973, et a fait l’objet d’investissements importants, plantations ou replantations raisonnées et réfléchies afin d’obtenir un encépagement plus équilibré, 70% de Merlot, 20% de Cabernetfranc et 10% de Cabernet-Sauvignon, rendements privilégiant la qualité, vinification traditionnelle avec macérations longues, élevage en fonction des millésimes.
“Sont commercialisés cette année, en rouge le Bordeaux Supérieur Château Lajarre 2016, 2017, 2018 et la cuvée Eléonore 2018, élevée en barriques, nous indique Grégory Lovato.
Les vendanges 2019 ont pu être effectuées dans de bonnes conditions à parfaite maturité, de sorte que nous avons vinifié la totalité de la vendange sans ajout de soufre. C’est une belle année qualitative, ce millésime a tout : concentration, maturité, un caractère affirmé et un beau fruité. Sur les vignes replantées, l’on observe une production plus importante de Cabernetfranc (40%) et de Merlot (60%).”
Vous allez apprécier comme nous ce superbe Bordeaux Supérieur cuvée Eléonore 2017, fort bien élevé (macération de 30 jours, 30% barriques, 70% cuves), tout en bouche, avec des notes caractéristiques de cassis et d’épices, de garde.
Le 2016, médailles de Bronze à Londres et d’Argent à Bordeaux, est également une réussite, ample, avec ces fines nuances de fruits noirs et de poivre en finale, un beau vin qui mérite une cuisine légèrement épicée comme, par exemple, un faisan à la fricassée de champignons sauvages ou des tournedos pôélés et macaronis aux morilles.
Goûtez aussi le Bordeaux Supérieur rouge Château Lajarre 2017, bien classique du millésime, dégage des notes de mûre et d'humus, aux taninsronds, de bouche charnue, une réussite comme ce 2016, de bouche puissante, aux nuances de fruits rouges à noyau frais, il est charnu et bien classique, tout en bouche, de couleur profonde, aux tanins amples et savoureux.
Vignoble de 28 ha, situé autour du château, bénéficiant d’une exposition plein sud et qui appartient depuis 6 générations à la famille, Le vin est issu de vendanges manuelles. Les vignes, très anciennes, sont plantées sur des coteaux qui surplombent la Garonne, dans un terroirargilo-calcaire.
C’est en 1964 que Marc Ducau, après avoir secondé son père dès l’âge de 14 ans, devint le propriétaire du Château. En 1986, il proposa à son neveu, Daniel Sanfourche, de venir le rejoindre. Ce dernier devint gérant de l‘entreprise en 1995. Marie-Laurence, son épouse, le rejoignit en 1991 pour prendre en charge la partie commerciale et administrative de l’entreprise. En 2014, leur fils Nicolas, intégra l’entreprise familiale.
Suave et superbe Loupiac 2017, très fin, d’une structure raffinée, c’est un beau vin très équilibré, très persistant, aux nuances de pêche, de tilleul et de pain grillé, de garde.
❤❤❤❤❤ C'est à partir de 1982 qu'Adrien Uijttewaal débute la plantation de vignes, dont la production sera vinifiée en cavecoopérative. Puis, il développe peu à peu son vignoble. Le 1995 est le premier millésime vinifié directement à la propriété sous les conseils de Jacques Boissenot. Le vignoble représente alors une surface de trente hectares. À partir du millésime 2003, son cru est reconnu cru Bourgeois. À compter du millésime 2006, il commercialise la production issue des vignes situées à Queyrac sous la marque Château Gemeillan, reconnue cru Bourgeois à partir du millésime 2009. Plusieurs autres achats de vignes portent ses propriétés à quelque 50 ha. Il possède le certificat Terra Vitis niveau 1 et s'oriente vers le niveau 2.
On se fait plaisir avec ce Médoccru Bourgeois Château Saint-Hilaire 2016, dont les arômesfruités se marient avec le torréfié de la barrique, aux tanins concentrés, souples, c?est un vin très harmonieux.
Joli Médoccru Bourgeois Château Gemeillan 2016, de bouche ample et typée, alliant structure et rondeur, riche en arômes (griotte, cuir), un vinferme et classique, de très bonne garde. Le 2015, de couleur intense, tout en parfums, souple, persistant, mêle puissance et élégance.
Adrien Uijttewaal
13, route de la Rivière
33340 Queyrac
Tél. : 05 56 59 80 88 Email : chateau.st.hilaire@wanadoo.fr www.chateau-st-hilaire.com
Château PIGANEAU
❤❤❤❤❤ Bénéficiant d?un remarquable rapport qualité-prix-plaisir, on est au sommet.
Vincent Brunot poursuit la tradition familiale qui est de privilégier le fruité et de réduire l?apport de bois neuf. Les vins sont toujours élevés une année en barriques mais avec seulement 25% de bois neuf, on obtient des vins plus veloutés, plus fruités, séduisants avec une aptitude à vieillir mais aussi aptes à être appréciés dans leur jeunesse.?Nous restons raisonnables dans l?élevage en barriques qui ne doit pas masquer notre joli terroir de sables et de graves, et privilégions le bon rapport qualité-prix.?
?Pour la vendange 2018, nous dit Vincent Brunot, cela dépend car nous avons trois sites. À Saint-Émilion, hormis la perte de récolte, cela s?est bien passé, nous avons obtenu de jolis degrés sans atteindre des sommets alors qu?à Lussac, on frôlait les 14,5°, des vins plus difficiles à vinifier à cause des sucres, ensuite les fermentations malolactiques ont été lancinantes.
Nous avons à la vente les Château Piganeau Saint-Émilion Grand Cru 2014, 2015 et 2016. Une trilogie très réussie, même gamme de qualité avec des petites nuances selon les millésimes. Par exemple, le 2016 est un vin coloré, assez explosif en bouche, un joli millésime. Ces trois millésimes qui se suivent ont vraiment un air de famille.
En Lussac Saint-Émilion, Château Tour de Grenet, nous proposons les 2015 et 2016 : deux jolis millésimes sur la souplesse, toutefois, le 2016 est plus puissant, très belle couleur, bel équilibre, un vin plus ensoleillé marqué par un été chaud. En Lalande-de-Pomerol, nous proposons Château Le Gravillot 2014 et 2016, des vins qui plaisent beaucoup, sur le fruit et la souplesse. Quant à notre Bordeaux SupérieurChâteau Maledan 2016, c?est également une belle réussite.
Je suis engagé dans le SME (système management environnemental), c?est le CIVB qui a mis en place ce mouvement. J?intègre un groupe de différents viticulteurs pour mettre en place des moyens afin de mieux respecter l?environnement, il y a un cahier des charges pour obtenir une certification. Depuis déjà deux ans, nous ne faisons plus de désherbages. L?an passé, nous avions investi dans du matériel de travail du rang.
Une nouveauté, en 2019, nous allons faire un Bordeauxblanc au Château Maledan. Nous avions planté il y a 3 ans du Sauvignonblanc mais aussi du Cabernet-Sauvignon qui vont entrer en phase de production.?
Voilà, en effet, un remarquable Saint-Émilion GC 2016, de couleurrubis soutenu, un vin typé, très équilibré, bien bouqueté, aux taninssoyeux, au nez complexe dominé par la violette, la prune et la cannelle. Le 2015, tout en bouche, mêlant ce gras caractéristique à des notes finement boisées, est un vin d?une jolie concentration. Le 2014, parfumé, associant couleur et matière, très équilibré, aux tanins mûrs et structurés, au nez de cassis, de griotte et d?épices.
Goûtez son Bordeaux Supérieur rouge Château Maledan 2016, charnu, aux tanins savoureux, tout en nuances avec des notes de griotte mûre. Il y a encore leur Lalande-de-PomerolChâteau Le Gravillot 2016, associe finesse et concentration, aux tanins puissants et soyeux à la fois, au nez intense où s?entremêlent des notes de fruits rouges mûrs et de réglisse. Le 2015, est tout en couleur et en matière, au nez concentré, riche, tout en nuances aromatiques, ferme et soyeux, avec une bouche savoureuse.
Jean-Baptiste et Vincent Brunot
❤❤❤❤❤ Depuis 2006 à Montrose, date d?acquisition de la famille Bouygues, on est soucieux de l?environnement et on applique très rapidement les premières mesures environnementales telles que l?utilisation de matériaux naturels comme l?osier, la confusion sexuelle, une conversion progressive du vignoble à une viticulture biologique.
Le but est d?optimiser les sols, faire évoluer les méthodes de travail à la vigne, enrichir et maintenir l?équilibre des sols, pour ce faire, on a introduit la plantation de céréales sur les parcelles au repos, l?éco-pastoralisme, en faisant pâturer des troupeaux de moutons sur les zones vertes et permettre d?améliorer l?amendement des terres. Compostage des déchets verts issus de la vigne, du chai, des haies, valorisation des boues, formation d?humus, recyclage des eaux usées. A Montrose, a été aussi mis en place, un plan de sélection massale/clonage. Des pieds sélectionnés sont gardés dans un conservatoire privé et constitueront un héritage précieux pour le renouvellement du vignoble dans les années à venir afin de perpétuer l?ADN et la diversité de Montrose.
?C?est une véritable originalité dans une propriété d?avoir entamé une démarche environnementale. En 2006, quand la famille Bouygues achète la propriété et voit le potentiel de ce terroir, trois idées apparaissent : faire le plus grand vin, se doter d?un outil de travail pour faire le plus grand vin, et dans le plus grand respect environnemental.
Ils ont tout-de-suite pensé panneaux photovoltaïques, géothermie? Ces motivations ont été au cœur de la rénovation et cela a été la première étape. Quelques années plus tard, nous nous sommes intéressés à la viticulture Bio pour éviter les risques aussi bien pour le personnel de la propriété que pour les consommateurs. Nous avons donc entamé des expérimentations sur certaines parcelles. Nous avons la chance d?avoir un très grand terroir de 90 ha d?un seul tenant. Nous sommes partis du principe de base que tout ce que nous prenions à la Nature, nous devions lui restituer.
Nous ne sommes pas certifiés Bio car il faut avoir une expérience depuis 3 ans et cela impose de respecter à la lettre la chartre. Nous préférons utiliser des produits précurseurs. La recherche scientifique évolue très vite, nous préférons être indépendants pour mieux gérer seul notre attitude environnementale vertueuse, peut-être qu?on demandera la certification Bio plus tard? Pour l?instant, on n?en voit pas trop l?intérêt, vu tous les efforts produits ici.
Vendange 2018 à Montrose : nous avons été victime de deux choses : le mode de lutte contre le mildiou car les méthodes Bio ne sont pas efficaces, on a vu leurs limites lors de cette pressionmildiou 2018, du jamais vu depuis 50 ans? Cela ajouté à la grande sécheresse durant l?été, nous avons bien sûr subit une perte de récolte. Les baies de raisins récoltées étaient extrêmement saines et concentrées, des peaux épaisses chargées en tanins, on a obtenu une matière première exceptionnelle avec un fruité hors du commun. Nous goûtons un superbe résultat dans les barriques, on tient un millésime un peu particulier, un millésime chaud, sec, comparable au 2009. Grâce à la précision que l?on est capable d?apporter à la vinification, nos vins expriment beaucoup d?élégance, de finesse.
2017 : un vin un peu en recul par rapport au 2016. Un ensoleillement moins marqué, une climatologie moins favorable, la Nature a un rôle à jouer? Un joli vin bien fait, bien né sur un beau terroir mais qui n?a pas le charme du 2016.
2016 : un millésime de référence, des conditions climatiques très favorables, un vin parfaitement typé terroir de Montrose, beaucoup de précision, une ossature et une droiture tannique impressionnantes, c?est ce qui le caractérise vraiment.?
Puissant et séduisant Saint-Estèphe 2016, de couleur intense, de bouche étoffée, aux notes de mûre, d?humus et de cuir, il est tout en nuances d'arômes, tout en couleur, ferme, de bouche puissante, et particulièrement prometteur. Le 2015, aux arômes de fruits rouges cuits, de truffe, d?épices et de sous-bois, est un vin ample, d?un bel équilibre en bouche, avec beaucoup de matière, très racé. Le 2014 est remarquable, il développe un nez puissant où s?entremêlent le poivre et les fruits noirs, une matière dense, intense, savoureuse, un grand vin. Le 2013, aux tanins serrés mais soyeux, est un vin classique, ample, solide, grâce à des conditions sélectives extrêmes et... son terroir, qui fait la différence dans ces millésimes difficiles. Le 2012, souple mais intense, riche en couleur, au nez de cassis et de poivre, est ample en bouche grâce à des taninssoyeux et puissants à la fois, tout en finesse mais corsé, intense, harmonieux aux papilles, c?est un vin d?excellente évolution et long en bouche.
On poursuit avec le Second Vin, La Dame de Montrose 2015, de belle robe soutenue, de bonne base tannique, aux connotations de fruitsfrais et de sous-bois, très bien équilibré, riche, aux notes de fruits mûrs, aux taninsronds mais présents.
Famille Bouygues - Gérant : Hervé Berland